Dans sa ferme de la province de Taounate, à 60 km au nord-ouest de Fès. Mohamed Ouali Alami a planté 2 hectares de tomates le même jour que son frère, en mars. Ses plantes sont arrosées au goutte-à-goutte, par des tuyaux en plastique qui courent le long des sillons. Pas celles de son frère, qui pratique l'irrigation traditionnelle par submersion.
De plus, dans le champ de Mohammed Ouali Alami, les mauvaises herbes, privées d'eau n'ont pas poussé. Les doses d'engrais, transportées par les tuyaux, ont donc baissé.
srce: Le Monde
Le goutte-à-goutte permet, dans l'agriculture, de réduire de 50% environ les quantités utilisées."La différence est visible à l'oeil nu" constate M.Alami.
De plus, dans le champ de Mohammed Ouali Alami, les mauvaises herbes, privées d'eau n'ont pas poussé. Les doses d'engrais, transportées par les tuyaux, ont donc baissé.
"là où il fallait dix ouvriers pour irriguer, traiter et désherber, un seul suffit." ajout-il.
srce: Le Monde